THE CURE - WISH (1992)
Fiction Records - FIXH20 - Double LP
Wish sort en 1992, trois ans après le sublime Desintegration dont il est le prolongement logique. En effet l'époque est à la noisy pop et The Cure sort les guitares.
L'album est un peu plus diversifié que le précédent mais garde quand même une cohérence dans le son et dans l'enchaînement des morceaux. L'ouverture et la fermeture par deux titres forts et emblématiques du son Cure (le sublime "Open" et l'énorme "End") viennent renforcer cet effet. En parlant du son, on retrouve en partie celui développé sur Desintegration : longs morceaux mélancoliques, mélodies sublimes, basse omniprésente, son caractéristique de guitare, emploi de la basse à 6 cordes... C'est très évident sur certains titres ("Apart", "Trust" et "To Wish Impossible Things"). Sur d'autres ces ambiances sont accentuées par l'utilisation de guitares plus incisives et plus présentes ("Open", "From The Edge Of The Deep Green Sea" et "End") voire même carrément plus agressives sur le cinglant et noisy "Cut". Enfin le tout est parsemé des inévitables titres ‘pop' ("High", "Friday I'm In Love", l'électrique "Wendy Time" et l'étrange "Doing The Unstuck") plutôt bien réussis dans l'ensemble et bien insérés dans l'album. Sur les 12 morceaux de l'album, il y a très peu de déchets et on plonge très rapidement dans les différentes ambiances qu'il décrit, par petites touches sans perdre le fil conducteur.
J'éprouve encore beaucoup de plaisir à écouter Wish. Même s'il est souvent sous estimé dans la discographie de Cure, il s'agit d'un disque magnifique, imprégné par l'esprit deDesintegration mais bien plus optimiste, plus varié et finalement plus facile d'accès. En même temps je ne suis pas sûr d'être tout à fait objectif puisque c'est en partie grâce la sortie de ce disque que j'ai rencontré la femme de ma vie, mais l'objectivité ça n'existe pas quand on parle d'émotions ... (Supercoincoin).
L'album est un peu plus diversifié que le précédent mais garde quand même une cohérence dans le son et dans l'enchaînement des morceaux. L'ouverture et la fermeture par deux titres forts et emblématiques du son Cure (le sublime "Open" et l'énorme "End") viennent renforcer cet effet. En parlant du son, on retrouve en partie celui développé sur Desintegration : longs morceaux mélancoliques, mélodies sublimes, basse omniprésente, son caractéristique de guitare, emploi de la basse à 6 cordes... C'est très évident sur certains titres ("Apart", "Trust" et "To Wish Impossible Things"). Sur d'autres ces ambiances sont accentuées par l'utilisation de guitares plus incisives et plus présentes ("Open", "From The Edge Of The Deep Green Sea" et "End") voire même carrément plus agressives sur le cinglant et noisy "Cut". Enfin le tout est parsemé des inévitables titres ‘pop' ("High", "Friday I'm In Love", l'électrique "Wendy Time" et l'étrange "Doing The Unstuck") plutôt bien réussis dans l'ensemble et bien insérés dans l'album. Sur les 12 morceaux de l'album, il y a très peu de déchets et on plonge très rapidement dans les différentes ambiances qu'il décrit, par petites touches sans perdre le fil conducteur.
J'éprouve encore beaucoup de plaisir à écouter Wish. Même s'il est souvent sous estimé dans la discographie de Cure, il s'agit d'un disque magnifique, imprégné par l'esprit deDesintegration mais bien plus optimiste, plus varié et finalement plus facile d'accès. En même temps je ne suis pas sûr d'être tout à fait objectif puisque c'est en partie grâce la sortie de ce disque que j'ai rencontré la femme de ma vie, mais l'objectivité ça n'existe pas quand on parle d'émotions ... (Supercoincoin).
TRACKLIST :
A1 | Open | 6:51 | ||
A2 | High | 3:37 | ||
A3 | Apart | 6:38 | ||
B1 | From The Edge Of The Deep Green Sea | 7:44 | ||
B2 | Wendy Time | 5:13 | ||
B3 | Doing The Unstuck | 4:24 | ||
C1 | Friday I'm In Love | 3:38 | ||
C2 | Trust | 5:32 | ||
C3 | A Letter To Elise | 5:14 | ||
D1 | Cut | 5:55 | ||
D2 | To Wish Impossible Things | 4:43 | ||
D3 | End | 6:45 |
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