AC/DC - IF YOU WANT BLOOD (1978)
Columbia Records - 80205 - Reissue 2003 - 180 Gr
Avec cinq albums studios enregistrés en moins de cinq ans, on peut facilement dire que les kangourous de AC/DC ne chôment pas ! Depuis le premier opus, "High Voltage", le groupe ne cesse de s’éloigner de leur côté bluesy, en faisant du Hard Rock teinté de Rock N’ Roll pur et dur. "Let There Be Rock" en est d’ailleurs le parfait exemple. La seule chose qui manque maintenant au groupe, c’est un live qui retransmet toute l’énergie déployée par le groupe en concert. Ce sera donc chose faite avec ce "If You Wan’t Blood (You’ve Got It) ", premier live du groupe. Pour des raisons diverses et variés, le concert enregistré au Apollo Theater de Glasgow en Avril 1978, sera écourté pour pouvoir être vendu sur un seul vinyle !
Mais bon, ne gâchons pas notre plaisir et mettons cette galette sur notre platine (disque de préférence !). Une fois n’est pas coutume, nous retrouvons le tandem Vanda & Young aux manettes, pour une production qui retransmet bien le tout, que ce soit les instruments, ou l’ambiance qui régnait dans la salle. Encore un bon boulot des deux hommes ! Au niveau musique, c’est toujours la même chose, un pur régal, une déferlante de décibels, une voix éraillé, des riffs et des solos endiablés, une rythmique béton... La routine quoi... On commence les hostilités avec "Riff Raff", sans doutes l’un des morceaux les plus endiablés du groupe. Une entrée en matière réussie qui met tout le monde dans le bain direct. On ne baisse pas de régime avec "Hell Ain’t A Bad Place To Be" et "Bad Boy Boogie", un morceau plus bluesy, où Angus Young fait son légendaire Strip-Tease. Les morceaux s’enchaînent avec une efficacité et un professionnalisme rare, pas de fausses notes, le tout est juste parfait ! "The Jack" confirme la tendance bluesy, tandis que "Problem Child" vient nous remettre dans le droit chemin du Hard Rock pur ! Sur la seconde face (oui, on parle de vinyle ici !), on retrouve des chansons Hard Rock uniquement. Pas de petits Blues à la "The Jack", nada ! Bam, un "Whole Lotta Rosie" qui pue la sueur, pouf un "Rock N’ Roll Damnation" qui sent la saturation et la distorsion, un "High Voltage" électrique (c’est le cas de le dire), autant de chansons qui marquent toute une génération de hardos (à l’époque, on ne parlait pas de métalleux, mais bien de hardos... plus un cours d’histoire qu’une chronique n’est-ce pas ?) ! Les deux dernières chansons sont celles où à mes yeux, Angus Young excelle le plus. Déjà "Let There Be Rock", entre coupé d’un solo époustouflant, mais aussi "Rocker", un morceau rageur à souhait, un des morceaux les plus rapides de la discographie des australiens. Et voilà, le bras de la platine se relève, revient à sa position initiale, le disque s’arrête de tourner, et nous on pleure de ne pas en avoir plus !
Comme vous l’aurez compris, ce live mythique est absolument indispensable pour n’importe quel hardos qui se respecte ! Que ce soit sur le plan de la production (vraiment génial), de la set list (époustouflante) ou de la prestation (tout simplement magique), ce Live est parfait en tout point ! Qui plus est, ce live est le seul Live enregistré avec le légendaire chanteur Bon Scott, qui décédera deux ans plus tard. Un live à ranger aux côtés des "Made In Japan" de Deep Purple, "Live After Death" de la vierge de fer, "World Wild Live" de Scorpions ou encore du "Alive ! " des Kiss. Tout purement magique, c’est tout !
Mais bon, ne gâchons pas notre plaisir et mettons cette galette sur notre platine (disque de préférence !). Une fois n’est pas coutume, nous retrouvons le tandem Vanda & Young aux manettes, pour une production qui retransmet bien le tout, que ce soit les instruments, ou l’ambiance qui régnait dans la salle. Encore un bon boulot des deux hommes ! Au niveau musique, c’est toujours la même chose, un pur régal, une déferlante de décibels, une voix éraillé, des riffs et des solos endiablés, une rythmique béton... La routine quoi... On commence les hostilités avec "Riff Raff", sans doutes l’un des morceaux les plus endiablés du groupe. Une entrée en matière réussie qui met tout le monde dans le bain direct. On ne baisse pas de régime avec "Hell Ain’t A Bad Place To Be" et "Bad Boy Boogie", un morceau plus bluesy, où Angus Young fait son légendaire Strip-Tease. Les morceaux s’enchaînent avec une efficacité et un professionnalisme rare, pas de fausses notes, le tout est juste parfait ! "The Jack" confirme la tendance bluesy, tandis que "Problem Child" vient nous remettre dans le droit chemin du Hard Rock pur ! Sur la seconde face (oui, on parle de vinyle ici !), on retrouve des chansons Hard Rock uniquement. Pas de petits Blues à la "The Jack", nada ! Bam, un "Whole Lotta Rosie" qui pue la sueur, pouf un "Rock N’ Roll Damnation" qui sent la saturation et la distorsion, un "High Voltage" électrique (c’est le cas de le dire), autant de chansons qui marquent toute une génération de hardos (à l’époque, on ne parlait pas de métalleux, mais bien de hardos... plus un cours d’histoire qu’une chronique n’est-ce pas ?) ! Les deux dernières chansons sont celles où à mes yeux, Angus Young excelle le plus. Déjà "Let There Be Rock", entre coupé d’un solo époustouflant, mais aussi "Rocker", un morceau rageur à souhait, un des morceaux les plus rapides de la discographie des australiens. Et voilà, le bras de la platine se relève, revient à sa position initiale, le disque s’arrête de tourner, et nous on pleure de ne pas en avoir plus !
Comme vous l’aurez compris, ce live mythique est absolument indispensable pour n’importe quel hardos qui se respecte ! Que ce soit sur le plan de la production (vraiment génial), de la set list (époustouflante) ou de la prestation (tout simplement magique), ce Live est parfait en tout point ! Qui plus est, ce live est le seul Live enregistré avec le légendaire chanteur Bon Scott, qui décédera deux ans plus tard. Un live à ranger aux côtés des "Made In Japan" de Deep Purple, "Live After Death" de la vierge de fer, "World Wild Live" de Scorpions ou encore du "Alive ! " des Kiss. Tout purement magique, c’est tout !
TRACKLIST :
A1 | Riff Raff | 5:58 | ||
A2 | Hell Ain't A Bad Place To Be | 4:10 | ||
A3 | Bad Boy Boogie | 7:29 | ||
A4 | The Jack | 5:48 | ||
A5 | Problem Child | 4:40 | ||
B1 | Whole Lotta Rosie | 4:05 | ||
B2 | Rock 'n' Roll Damnation | 3:41 | ||
B3 | High Voltage | 5:05 | ||
B4 | Let There Be Rock | 8:33 | ||
B5 | Rocker | 3:14 |
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