THE WHO - TOMMY (1969)
Polydor - 658.149.2 (France)
Sortie en 1969, "Tommy" reste une œuvre majeure dans le monde du rock : elle conférera aux Who et à son créateur, Pete Townsend, une aura particulière. En 69, le chant du bel éphèbe Daltrey, les moulinets rageurs deTownsend sur sa Gibson, les vrombissements de la basse d'Entwistle et la frappe démoniaque de Moon feront les grandes heures du festival de Woodstock. Les titres tels que "Pinball Wizard", "I'm Free", "We're Not Gonna Take It" deviendront des hits incontournables.
Suivront de nombreuses représentations de l'opéra avec de multiples interprètes invités jusqu'à ce que Pete Townsend réalise en 1972 son rêve ultime, l'interprétation de "Tommy" par le London Symphony Orchestra, mais cela fera l'objet d'une prochaine chronique....
Que dire de plus de cet album devenu mythique ? L'histoire quelque peu loufoque de Tommy sera un vecteur de succès sans précédent pour le quatuor anglais. Le génie créateur et le jeu de guitare si typique de Townsend, la basse chirurgicale d'Entwistle sur fond de percussions surréalistes du batteur fou Moon, au service du chant puissant de Daltrey à la longue crinière blonde et frisée, portent ce scénario comme un hymne à la liberté. "Tommy" s'écoute sans pause de la première à la dernière note, le livret à la main, de la première phrase "Captain Walker didn't come home." jusqu'à la finale "From you I get the story.". Les rencontres improbables du jeune héros avec un cousin cruel, un oncle pédophile ou une gitane qui guérit en faisant l'amour, sont autant de prétextes à des compositions résolument rock et définitivement incontournables. (Peter hacket.)
TRACKLIST :
Suivront de nombreuses représentations de l'opéra avec de multiples interprètes invités jusqu'à ce que Pete Townsend réalise en 1972 son rêve ultime, l'interprétation de "Tommy" par le London Symphony Orchestra, mais cela fera l'objet d'une prochaine chronique....
Que dire de plus de cet album devenu mythique ? L'histoire quelque peu loufoque de Tommy sera un vecteur de succès sans précédent pour le quatuor anglais. Le génie créateur et le jeu de guitare si typique de Townsend, la basse chirurgicale d'Entwistle sur fond de percussions surréalistes du batteur fou Moon, au service du chant puissant de Daltrey à la longue crinière blonde et frisée, portent ce scénario comme un hymne à la liberté. "Tommy" s'écoute sans pause de la première à la dernière note, le livret à la main, de la première phrase "Captain Walker didn't come home." jusqu'à la finale "From you I get the story.". Les rencontres improbables du jeune héros avec un cousin cruel, un oncle pédophile ou une gitane qui guérit en faisant l'amour, sont autant de prétextes à des compositions résolument rock et définitivement incontournables. (Peter hacket.)
TRACKLIST :
A1 | Overture | 3:50 | ||
A2 | It's A Boy | 2:07 | ||
A3 | 1921 | 3:14 | ||
A4 | Amazing Journey | 3:25 | ||
A5 | Sparks | 3:45 | ||
A6 | Eyesight To The Blind (The Hawker) | 2:15 | ||
B1 | Miracle Cure | 0:10 | ||
B2 | Sally Simpson | 4:03 | ||
B3 | I'm Free | 3:31 | ||
B4 | Welcome | 9:55 | ||
B5 | Tommy's Holiday Camp | 0:57 | ||
B6 | We're Not Gonna Take It | 6:45 | ||
C1 | Christmas | 5:30 | ||
C2 | Cousin Kevin | 4:03 | ||
C3 | The Acid Queen | 3:31 | ||
C4 | Undertune | 9:55 | ||
D1 | Do You Think It's Alright? | 0:24 | ||
D2 | Fiddle About | 1:26 | ||
D3 | Pinball Wizard | 3:50 | ||
D4 | There's A Doctor | 0:25 | ||
D5 | Go To The Mirror! | 3:50 | ||
D6 | Tommy Can You Hear Me? | 1:35 | ||
D7 | Smash The Mirror | 1:20 | ||
D8 | Sensation | 2:32 |
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